28ème Triumph Event en Bourgogne
sur la route des grands crus
du jeudi 5 au dimanche 8 mai 2016
par Jean-Paul Lamy
Plus de cent voitures… Il faut donc nous scinder en deux groupes aux couleurs des produits régionaux : le rouge et le blanc. La chronologie de ce compte rendu est celle du groupe qui m’a accueilli, les blancs. J’espère que les rouges sauront se montrer compréhensifs !
Dijon capitale de la Bourgogne
Les participants se retrouvent à l’hôtel Holiday Inn du gigantesque centre commercial de la Toison d’Or. Les autos envahissent progressivement le grand parking. Si la plupart des voitures anciennes viennent par la route, certaines nobles Triumph arrivent en chaise à porteur, haut perchées sur des remorques tractées par de puissants véhicules modernes. Comme d’habitude, quelques moutons noirs égayent le troupeau : Austin-Healey, MG, Morgan et consorts, même une Caravelle ! Le plus souvent et par courtoisie, les rares voitures contemporaines de nos membres se tiennent discrètement à l’écart afin de ne pas altérer le spectacle : un flot multicolore des voitures anciennes.
Cliquez sur les images pour les agrandir.
Beaucoup de nos amis sont sur place dès le jeudi. Ils profitent d’un temps exceptionnel pour visiter la capitale des ducs de Bourgogne. Les charmantes animatrices de la boutique du club font preuve de remarquables qualités d’organisatrices. Elles concoctent une visite guidée de la ville, pour notre plus grand plaisir. C’est en tramway que nous nous rendons au cœur de Dijon, le centre-ville étant réservé aux piétons.
Tramway de Dijon | Grand-rue | Maison à colombages |
Dijon est une ville magnifique, pleine de richesses insoupçonnées. Quel plaisir que de déambuler le long des anciennes rues du centre-ville. Partout de belles demeures, de beaux hôtels particuliers dissimulés derrière de hauts murs. Devant le palais des ducs de Bourgogne, la place royale réaménagée en l’honneur de Louis XIV est une merveille, merci Monsieur Mansart ! Sans notre excellente guide et ses commentaires passionnants, cette visite aurait moins d’intérêt. Quelques passants s’interrogent sur les discrets échanges de monnaie avec nos accompagnatrices. Rassurez-vous, il s’agit simplement de rémunérer notre guide.
Place royale et palais ducal | ||
Un bon déjeuner sur la grande place, sur une terrasse ensoleillée, laisse augurer des bons moments à venir. Les heures passant, le tramway nous ramène à l’hôtel.
Un accueil Triumphal
Devant l’hôtel, l’étendard du Triumph Club de France flotte fièrement au vent. La belle Triumph « Valencia Blue » de notre vénéré président trône au milieu de la pelouse, rappelant à tous les passants qui fréquentent le centre commercial de la Toison d’Or qu’il se passe quelque chose d’exceptionnel à Dijon. C’est Le Triumph Event, que diantre !
TR5PI du président | Holiday Inn de la Toison d'Or | TR3B des l'organisateurs |
Pendant ce temps, le bureau d’accueil, tenu par nos charmantes hôtesses, remplit parfaitement son office. Coucou de bienvenue, bisou de rigueur, attribution des chambres, distribution des traditionnels cadeaux, des badges, des plaques de rallye et du road-book.
L’Holiday Inn est un grand hôtel contemporain, luxueux à souhait qui sait nous accueillir à la satisfaction de tous. Hélas, la robinetterie moderne est tellement sophistiquée que les moins « géo-trouve-tout » d’entre nous ont droit à quelque énervement et à quelques surprises…
L’assemblée générale
Si cette assemblée est nécessaire, autant la faire la plus courte et la moins ennuyeuse possible, défi que le président relève avec brio. Les images de l’activité passée et de projets à venir défilent rapidement. Les comptes positifs sont approuvés, l’équipe dirigeante est reconduite dans ses fonctions. Toutes les résolutions sont adoptées à l’unanimité. Bref, tout va pour le mieux ! Bienvenue à nos nouveaux administrateurs, les joyeux lurons que sont Alain Dufour et Patrick Jourdain.
Assemblée générale | Les administrateurs |
L’apéritif est pris sur la terrasse, beau temps oblige ! Puis les blancs et les rouges dînent chacun dans leur salle respective, avant une bonne nuit. L’Event 2016 a bel et bien commencé.
Les caves Patriarche
De bon matin, direction Beaune au cœur du vignoble bourguignon. Quelle meilleure immersion dans le monde du vin que la visite d’une cave ! Le choix s’est porté sur la plus prestigieuse maison de Bourgogne. La cour principale du domaine Patriarche se remplit progressivement de Triumph jusqu’à saturation. Les participants s’interrogent sur la manière dont ils pourront sortir leur voiture de cet entrelacs inextricable. Heureusement, les derniers arrivés bénéficient d’un autre emplacement proche mais moins saturé.
La cour du domaine Patriarche | ||
Le domaine Patriarche est un ancien couvent et nous sommes conviés à un premier office dans la chapelle. Notre guide a tout d’un moine : stature gotique, voix de stentor, discours onctueux. Il est fier d’être bourguignon et le fait savoir en brocardant à l’envi le Bordelais, saine émulation ! Comme le souligne si bien Philippe Geluck, le génial interprète du chat, « En Bourgogne, il y a des gens qui portent des vestes bordeaux, le contraire est parfaitement impossible ».
Puis c’est la descente dans les entrailles de la terre où sommeillent des millions de bouteilles. Après une excursion souterraine parmi les meilleurs crus qui attendent sagement leur maturité, nous atteignons la salle de dégustation. Chacun reçoit son tastevin et le rituel commence. D’abord les blancs si gouleyants, puis les rouges de plus en plus élaborés. Un vrai régal. Certains font leurs emplettes, fortement limitées par la capacité du coffre de leur voiture. C’est là le défaut majeur des Triumph dans les terroirs vinicoles !
Des millions de bouteilles | Dégustation souterraine | Cellule de dégrisement |
Les organisateurs ont tout prévu. Après la visite du domaine Patriarche, nous allons garer nos voitures dans un parking réservé, à deux pas du célèbre Hôtel-Dieu.
Déjeuner à Beaune
Pour déjeuner, c’est la liberté totale et chacun trouve à s’installer à l’une des nombreuses terrasses des restaurants de la cité. Cela permet à beaucoup d’entre nous de déguster les nombreuses spécialités du cru. Le beau temps aidant, il y a foule au centre-ville, surtout devant le célébrissime Hôtel-Dieu que nous sommes invités à visiter.
Les Hospices de Beaune
La foule est dense, très dense. Pour la visite guidée, nous sommes répartis en plusieurs sous-groupes dotés de récepteurs radio. Crrrr… Crrrr… Ce serait un progrès notable s’ils fonctionnaient correctement, sans interruption ni grésillement, mais il faut faire avec, Bzzzz… Bzzzz… La visite est passionnante, bien que les commentaires soient parfois difficiles à entendre, Chhh… Chhh…
Beaune - Parking Very | Au hasard des rues de Beaune | Extérieur de l'Hôtel-Dieu |
Hôtel Dieu | ||
Pharmacie | Salle des | Pauvres |
Il est pénible de se frayer un chemin dans une foule et les groupes ont bien du mal à rester compacts. Nous ressortons du site avec une légère frustration, l’impression d’avoir été trop vite et d’avoir manqué des choses intéressantes. En fait, il faudrait de longues heures pour découvrir l’histoire et toutes les richesses de cet endroit tout à fait exceptionnel.
L’Or des Valois
Le convoi des Triumph s’étire le long des petites routes entre les vignes omniprésentes. Nous nous dirigeons vers une exploitation originale, celle des truffes. Elle est située au bout d’une petite route défoncée, pleine de « nids de vache ». C’est là que le sigle « IRS » prend toute sa valeur. Il est difficile de se garer le long du chemin étroit. Nous sommes accueillis par le maître des lieux. Désormais nous savons tout, tout, tout sur la truffe de Bourgogne, que l’on trouve auprès d’une grande variété d'arbres : chênes, noisetiers, charmes, hêtres et pins, mais elle délaisse avec mépris les arbres fruitiers. La visite se conclut par la dégustation de différents canapés originaux à base de truffe, bien entendu.
Au bout de la petite route défoncée | Site de l'Or des Valois | Dégustation de canapés aux truffes |
Puis c’est le retour à l’hôtel, en empruntant la route dite des grands crus, axe vinicole incontournable qui relie Dijon et Beaune au milieu des vignes. Apéritif, dîner et bonne nuit !
Le Clos de Vougeot
Après cette nuit revigorante, retour aux voitures. Quel spectacle que le parking de l’hôtel, avec toutes ces Triumph. Le temps étant toujours au beau fixe, tout le monde décapote, sauf les GT6, allez savoir pourquoi !
Retour sur la route des grands crus en direction du Clos de Vougeot. Nous arrivons devant le domaine au milieu des vignes, magnifique ! Nous alignons tant bien que mal nos nombreuses voitures devant le château, ce qui oblige les autres visiteurs à aller se garer derrière les bâtiments. Pourquoi ne viennent-ils pas aussi en Triumph ? Le site est vraiment exceptionnel, qu’il s’agisse de l’environnement, du château lui-même, des énormes pressoirs et des gigantesques chais. La visite guidée est appréciée de tous. C’est un endroit splendide et incontournable où vraisemblablement la majorité d’entre nous reviendra !
Le Clos de Vougeot | ||
Triumph multicolores | Le Roadster 2000 | Le président dans ses œuvres |
Facade style renaissance italienne | Cour du domaine | Ancien pressoir |
Là aussi, il faut un certain temps pour dégager les voitures et reprendre la route pour se rendre à Meursault, encore un nom qui évoque la dive bouteille. Une déviation inattendue contraint quelques Triumph à pratiquer un jardinage erratique dans les vignes du seigneur.
Au restaurant La Diligence
Restaurant La Diligence à Meursault | ||
Slalomant entre les tables, notre troupe remplit la salle à manger de l’établissement. Une fois installés, c’est le moment choisi par nos amis suisses pour se déchaîner, la désormais incontournable « montée continue dans les tours » jusqu’à la zone rouge du mot « santé…é…é… » ! On trinque donc à cette irremplaçable santé, au bonheur, mais pas à l’intelligence car on l’a déjà, à vérifier ! Pour ne pas être en reste, d’autres joyeux participants, verre en main et particulièrement motivés, entonnent bruyamment des chansons à boire… Ne sont-ils pas fiers d’être les bourguignons d’un jour ? Les décibels augmentent à mesure que les bouteilles se vident. L’ambiance est bien là !
Le charme des petites routes
Au sortir du restaurant, nous empruntons un itinéraire bien différent de ceux parcourus jusqu’ici. Quel plaisir de rouler paisiblement au soleil le long de ces routes étroites, non plus dans la plaine au milieu de vignes à perte de vue, mais dans une jolie campagne vallonnée. Nous parcourons sur quelques kilomètres le tracé de l’ancienne nationale 6, détrônée depuis longtemps par l’autoroute. Ce parcours ravive les souvenirs des plus anciens d’entre nous qui redécouvrent la fameuse côte de La Rochepot et son célèbre château, couronné d’une étonnante toiture de tuiles multicolores. Cette petite escapade bucolique nous change un peu de l’ordonnancement orthodoxe des rangées de ceps.
Spitfire 4 | Au détour d'un chemin | Triumph GT6 Mk2 |
Le Cassissium
Après moult dos d’âne, les cassis… Sacré Chanoine Kir, quel sens inné du marketing ! Béni soit-il, n’a-il pas donné au mélange de cassis et de blanc aligoté une renommée et un essor miraculeux ? Cet Event permet de découvrir l’entreprise séculière ultra moderne qui entretient ce succès quasi divin. L’usine produit entre autres des tonnes de crème de cassis pour répondre à l’intarissable demande de Kir…
Accueil et dégustation | Anciens ateliers | Usine moderne |
Encore une petite dégustation à la sortie, histoire de reprendre le volant… Dieu merci, c’est le week-end de l’Ascension et les pandores bourguignons semblent de repos.
Soirée de gala
Mais ces bougres de pandores sont capables de se réveiller et de se tapir en embuscade le long de notre route. Quelle aubaine de pouvoir verbaliser en série tout un lot de voitures anciennes, de confisquer un tas de permis de conduire, même étrangers ! Aussi, prudents et madrés, nos organisateurs ont prévu de nous convoyer en autocars, pilotés par de rares autochtones apparemment à jeun. Nous voilà donc à Plombières-les-Dijon, au cabaret musical Odysséo. L’Event va crescendo et comme à l’accoutumée, ce sont les meilleurs et derniers souvenirs qui resteront gravés dans les mémoires.
Apéritif au bord du lac, sous un ciel d’un bleu immaculé. Les nombreux chiens accompagnateurs, de la si pratique race « boîte à gants » au redoutable « indiscipliné en mal de dressage », découvrent les animaux à plumes qui flottent alentours. A entendre leurs aboiements, ils ne pratiquent ni le langage de cygnes, ni le coin-coin des canards. Heureusement, aucun accident majeur n’est à signaler.
Accueil par la TR3B de l'organisateur | Apéritif au bord du lac | Tous à table |
L’Odysséo ouvre ses portes, c’est l’heure de la « mise en boîte » tant attendue. De petits groupes, à l’instar des bretons, se précipitent pour être au plus près de la scène. Et ce n’est pas pour mieux entendre, car la sono est excellente… Ils regretteront vite ce choix, car la sulfureuse « Lola from Paris » tire aussitôt profit de cette proximité. Elle ne les épargne pas, au plus grand bonheur des autres régions moins organisées qui n’ont pas su se placer aussi judicieusement. Petits coquins de bretons !
Excellent dîner, cette fois-ci bien bourguignon. Beau spectacle qui satisfait les plus réservés. Hormis la pulpeuse « Gros Lolos » qui occupe avec ses talents le devant de la scène, nous contemplons les fines danseuses ukrainiennes et admirons les acrobates asiatiques. Ces artistes savent même charmer les éternels blasés, comme on les plaint ! Un bon French Cancan, quelques contorsions en tenue plus que légère, quelques acrobaties et deux ou trois tours de magie, quoi de mieux égayer encore une atmosphère déjà euphorique ?
French Cancan endiablé | Lola from Paris entreprend le président | Une revue éblouissante |
Avant le début de ce spectacle où personne ne voit le temps passer, le président fait le discours que tout le monde attend. Il est si dynamique, si concis, si bref, qu’il créé un regrettable incident diplomatique. Il omet, tenez-vous bien, de mentionner notre cher Adrien Adatte et sa fidèle Jacqueline parmi les recordmen de participation à l’Event ! Pourtant, ils méritent la deuxième marche du podium. Après le spectacle, le président réalise cet inexcusable oubli. Il est vrai que surmené, il s’est laissé envoûter comme tant d’autres par la revue magistralement menée par cette coquine de « Lola from Paris », femme ou homme allez savoir, avec ses frou-frous à paillettes, sa voix rauque et sensuelle. Il est donc tout pardonné.
Espérons que malgré cette bévue, nous reverrons nos amis suisses lors de nos prochaines manifestations. Quant aux anglais, toujours fidèles à l’Event, ils ressortent du cabaret le regard encore émoustillé, après avoir porté, comme il est d’usage, moult toasts à leur Reine.
Savigny-les-Beaune
Plus de cent Triumph rangées devant le château, quel spectacle. La place est trop exiguë et le recul est insuffisant pour les admirer ensemble. Il n’est pas possible de les rassembler sur une même photo, pour immortaliser cet instant exceptionnel. Après avoir passé en revue le bataillon de Triumph classiques, on ne se lasse pas d’admirer l’emblématique roadster Triumph 2000, la rarissime Italia et la si mignonne petite Spitfire 4, seuls représentants de leur catégorie. La petite escadrille de pimpantes GT6 attire aussi bien des regards.
C’est le couronnement de cet Event 2016. Dans ce château bien caché, au cœur d’un village petit par sa taille mais célèbre pour ses vins, des musées improbables cohabitent de manière inattendue : des voitures anciennes et particulièrement des Abarth transalpines, des centaines de motos d’époque parfaitement restaurées, un incroyable parc d’avions sauvés de la démolition, un rassemblement d’anciens véhicules de sapeurs-pompiers, d’innombrables maquettes d’avions, et on en oublie. Le temps est trop court pour apprécier pleinement cet univers si riche et si hétéroclite.
La Triumph « Valencia Blue » du président, encore elle, est mise à rude épreuve. Elle sert de cobaye aux miraculeux produits d’entretien proposés par un des sponsors du club. Visiblement, elle se sort bien de cette épreuve. Il est vrai que la candidate est déjà au mieux de sa forme. Pour que la démonstration soit plus probante, il eut fallu prendre un mannequin un peu moins pimpant !
Ensuite quel déjeuner, un moment d’anthologie ! Les quelque deux cent convives sont pour la première fois rassemblés dans l’immense salle du château. Excellent repas aux couleurs de la Bourgogne, vins unanimement appréciés, ambiance comme on aimerait en voir plus souvent. Bravo !
Repas dans la salle du château | ||
C’est l’heure du départ, après les congratulations d’usage. La pluie annoncée a eu la délicatesse d’attendre la fin de cet Event. Le soleil brille dans un ciel toujours bleu. Très bel Event, difficile de faire mieux !
La Boutique
Chantal et Marie-Odile derrière l’étal, la boutique fait le plein. On s’arrache les articles traditionnels et ceux de la nouvelle collection. Vu le beau temps, tout se vend bien, sauf peut-être les parapluies, encore faut-il savoir qu’ils peuvent également servir d’ombrelle. Les stocks se dégonflent à mesure que le chiffre d’affaires gonfle. Le trésorier et le contrôleur de gestion apprécient.
Bilan Mécanique
Les Triumph du club sont toujours aussi belles, toujours aussi fiables. Certaines autos connaissent quelques petits soucis vite réparés et vite oubliés. Une seule voiture subit un plus triste sort, la TR4A IRS de notre cher secrétaire général. Espérons qu’elle sera rapidement guérie. Comme à l’accoutumée, la Caravelle est le taxi des naufragés de l’Event. Finalement, ce n’est pas si incongru que d’accepter dans le club d’autres voitures que de strictes biplaces. Il est vrai que cette année, il nous manque les représentantes les plus habitables de la marque Triumph. Eh, Ho, les berlines, venez-vous joindre à nous !
Le bruit court que des voitures auraient connu quelques problèmes soit avant de partir pour l'Event, soit sur le chemin du retour. Espérons que cela n'est pas trop grave et que les bobos seront vite réparés !
Pour voir les images
Cet article sur l’Event est illustré d’une première série d’images. Une version enrichie des plus belles photos ou vidéos reçues suivra dans les meilleurs délais. Merci pour votre patience !
A l’année prochaine en Auvergne
Un grand merci à Marie-Antoinette et Willy qui ont magistralement organisé cet Event en Bourgogne. Cette vingt-huitième édition restera dans les mémoires. Merci également à tous les bénévoles qui les ont assistés pour que cet Event connaisse une réussite méritée. Enfin, merci à vous, chers amis, d’être venus si nombreux au cœur du vignoble bourguignon.
Vous êtes cordialement attendus pour le prochain Event en Auvergne. Les organisateurs ont déjà passé commande du beau temps. Ils vous concoctent un programme inédit entre plaine et montagne.
A bientôt !